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de NIORT CharlesPrénommée: Béatrice de MORVOIS |
Jacques Bernier dit Jean de Paris Ancêtre des Bernier d'Amérique Le patronyme Bernier serait de racine germanique : «bern» et «hari» signifieraient «ours» et «armée». On raconte qu'un serviteur qui gardait des chiens destinés à la chasse aux ours portait ce nom. Plusieurs vinrent au pays. Cependant, le premier arrivé fut Jacques Bernier, qu'on surnommait Jean de Paris ; probablement à cause du fait qu'il était natif de Paris. En effet, en 1635, le fils d'Yves Bernier et de Michelle Trevilet (Treuillet) voyait le jour. Il se disait de la paroisse de St-Germain-l'Auxerrois, sur la rive droite de la Seine, au coeur de la métropole actuelle. On retrace pour la première fois, l'ancêtre Jacques Bernier, le 3 mars 1653, à Québec. Il venait servir de témoin à un mariage. Trois ans plus tard, il prenait pour épouse, Antoinette Grenier, une parisienne. Elle était la fille de Claude et de Catherine (nom omis). Par la suite, ils se fixèrent à l'Île d'Orléans, nom de la bourgade des Hurons. À partir de 1659, il se voyait concéder peu à peu des terres. C'est ainsi que Jacques, en dix ans environ, devient un important propriétaire terrien. Au recensement de 1667, il possédait 25 arpents de terre en culture et 8 bêtes à cornes; il avait trois domestiques à son service. Vers 1674, il se déposséda de tous ses biens et partit pour le Cap-Saint-Ignace. Trois ans plus tard, l'homme d'affaires avait déjà repris sa vitesse de croisière. Comme les Bernier furent les premiers à se fixer au Cap-Saint-Ignace, leur résidence servira de chapelle aux missionnaires jusqu'à ce qu'en 1683 on bâtisse la première chapelle publique. Entre 1657 et 1678, les Bernier engendrèrent onze enfants qui à leur tour laissèrent soixante-quatorze descendants à la troisième génération. Les Bernier du Cap-Saint-Ignace se dispersèrent partout dans le pays et même au-delà. L'aïeul terminait ses jours le 20 juillet 1713. Il fut inhumé au cimetière du Cap-Saint-Ignace, à l'âge respectable de 80 ans. Sa compagne de vie, Antoinette Grenier, l'avait précédé une année auparavant, soit le 17 février 1712. Source: Le Centre de généalogie francophone d'Amérique |
Charles Deschamps de Boishébert et de Raffetot Boishébert se trouvait en Acadie en 1749, au moment où la question des limites territoriales de cette région, en suspens depuis 1713. prenait une tournure nouvelle : la France avait décidé de fixer les limites de l’Acadie à la rivière Missaguash. On envoya donc Boishébert à l’embouchure de la rivière Saint-Jean pour faire opposition à toute tentative d’établissement de la part des Britanniques. .... en 1754, il repartit pour l’Acadie, avec le titre de commandant du fort La Tour, à l’embouchure de la rivière Saint-Jean, où il s’employa à contrecarrer les efforts persistants des Britanniques pour s’établir dans cette région. ..... Boishébert participa, avec un corps de volontaires acadiens, à la défense de Québec à l’été de 1759, de même qu’à la bataille décisive des plaines d’Abraham. Source : Sa biographie dans le Dictionnaire biographique du Canada. |
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