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L'ESPÉRANCE JeanJEAN DeLALONDE dit L'Espérance L’ancêtre Jean DeLalonde a 25 ans lorsqu’il arrive en 1665, à Québec, comme soldat du régiment de Carignan-Salières. Né vers 1640, au Havre, dans l'archidiocèse de Rouen, en Normandie, fils de François-Philippe Lalonde et de Jeanne Duval. Jean DeLalonde, dit l'Espérance est sans doute soldat de la compagnie Sorel, du régiment Carignan-Salières. Il est arrivé en Nouvelle-France sur le bateau L'Aigle d'or ou le Saint-Siméon. Aucune preuve ne vient cependant étayer cette affirmation. Mais plusieurs soldats surnommés l'Espérance sont arrivés avec le régiment de Carignan. La traite de fourrures avec les Indiens est menacée à cause des attaques des Iroquois. Colbert, premier ministre du roi Louis XIV, obtient la permission d'envoyer l'armée en Nouvelle-France pour stabiliser la situation et améliorer les recettes de la France. En 1665, dans le but d'assurer la paix et la tranquillité à la colonie qui est toujours exposée à périr, 1200 soldats du régiment de Carignan-Salières s'embarquent à la Rochelle pour la Nouvelle-France, pour trois ans. Après cette période, environ 400 soldats et 30 officiers acceptent l'offre du roi et préfèrent se fixer dans la colonie. Jean DeLalonde est l'un de ceux qui acceptent de rester en Nouvelle-France. Au recensement de 1666, il habite dans la paroisse de Sillery, près de Québec. Il est inscrit sur la liste du collège des Jésuites et il déclare comme occupation, domestique. Jean DeLalonde passe trois contrats de mariage successifs devant notaire avec trois filles du roi, avant de se marier finalement en 1669, à Marie Barbant, Baban, Barbary, ou Barbaut. Jean DeLalonde déclare qu'il est originaire de la paroisse Notre-Dame, du Havre, en Normandie, quand il épouse le 14 novembre 1669, Marie Barbant, âgée de 30 ans. Marie Barbant, une fille du roi, originaire de Saint-Rémi de Dieppe, à Rouen en Normandie, fille d'Alexandre Barbant et Marie LeNoble. Mais l'acte de mariage est introuvable. Le 22 octobre 1669, juste avant son mariage avec Marie Barbant, Jean DeLalonde obtient une terre d'Anne Gasnier, sur sa seigneurie d'Autray. La seigneurie est située à Lanoraie, à l'est de Montréal, sur la rive nord, du fleuve Saint-Laurent. En 1672, les Lalonde s'installent à l'Île Perrot, où jean se met au service de François-Marie Perrot. Leur fille, Marie-Madeleine Lalonde qui est née en 1672, mais dont on ne retrouve pas son acte de baptême, est celle qui tisse le lien de descendance jusqu'à ma mère, Pierrette Boisvert. Le 18 février 1686, elle épouse, âgée de 14 ans, l'ancêtre originaire de Picardie, Guillaume Daoust, lui âgé de 41 ans, dont elle a huit enfants. Avec ce mariage, elle devient l’ancêtre féminine des Daoust, dont trois enfants nous lient à ces familles. Le 10 décembre 1678, Jean de Lalonde, ses deux enfants (Jean et Marie-Madeleine) et sa femme Marie, enceinte de 7 mois, sont les premiers colons qui s'installent dans une concession de 120 arpents de terre, dans la mission de Saint-Louis du Haut de l'Île, qui devient plus tard la Baie d'Urfé. Au recensement de 1681, Jean de Lalonde est inscrit à la Côte Saint-Pierre, dans le fief Verdun. Il dit avoir 40 ans et habite avec sa femme Marie Barbant, 42 ans, Madeleine Lalonde, 9 ans, Jean-Baptiste Lalonde, 6 ans et Jean Lalonde, 3 ans. Le 26 octobre 1682, Jean DeLalonde obtient une autre concession de 120 arpents, sur les bords du lac Saint-Louis En 1685, une chapelle est construite sur la terre de Jean de Lalonde, et l'évêque Saint-Valliers inaugure la paroisse sous le nom de St-Louis du Haut de l'Île, qui devient Baie d'Urfé, d'après le nom du premier curé François Lescaris d'Urfé, sulpicien. Jean de Lalonde en est le premier marguillier. Le 29 septembre 1687, les Iroquois attaquent Jean et quatre autres travailleurs dans les champs près de leur maison et ils sont tués. Après la mort de son mari, Marie Barbant quitte sa terre du Haut de l'Île, pour se réfugier à Lachine, par crainte des Iroquois. Comme c'est la coutume à cette époque, elle se remarie quatre mois plus tard, le 26 janvier 1688, à Pierre Tabault. Sources: http://www.smartnet.ca/users/roberochon/lalonded.htm |
Pierre Levasseur Ancêtres des Levasseur d'Amérique Pierre Levasseur dit L'Espérance est né à Saint-Leu et Saint-Gilles, Evêché de Paris, en 1629. Il est venu à Québec vers 1651. Il se marie avec Jeanne de Chanverlange de Bourges (France) le 25 octobre 1655 à Québec. Pierre et son épouse Jeanne eurent neuf enfants, 6 filles et 3 garçons. Son père était Noël Levasseur et sa mère Geneviève Gaugé, devenu Gange. Ils étaientde la paroisse Saint-Leu et Saint-Gilles, évêché de Paris en France. Pierre Levasseur s'installe d'abord à l'île d'Orléans où il travaille "de bonne foi et sous l'espérance qu'il lui serait donné titre de concession de la dite terre". Mais il quitte en 1663 "pour cause des incommodités que s'y rencontrent, autant pour lui que pour sa famille" (Acte notarié). De métier, il est menuisier et sculpteur. Un seul fils de Pierre s'est marié. Il s'agit de Pierre II. Ses deux autres frères, Antoine et François, étaient soldats. Pierre est décédé à Québec vers .1681. Pierre Levasseur dit L'Espérance II fut baptisé le 30 avril 1661. Il se marie à Québec le 28 novembre 1686 avec Madeleine Chappau qui lui donnait trois enfants. Devenu veuf, il se remarie avec Anne Mesnage le 18 mars 1696. De ce deuxième mariage sont nés 17 enfants. C'est grâce à lui que s'est conservé le nom de plusieurs Levasseur aujourd'hui. Source: Roger Levasseur |
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