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CORMIER PierreRobert CORMIER Ancêtre des Cormier D'Amérique Le 8 janvier 1644, Robert Cormier, maître charpentier de navire à La Rochelle, son épouse Marie Péraud et leur fils Thomas se sont engagés à prendre le navire Le Petit Saint-Pierre, afin de venir travailler au fort Saint-Pierre, en l'île du Cap-Breton. C'est ainsi que l'histoire de la famille Cormier en Amérique débute. Vers 1668, Thomas Cormier, alors âgé d'environ trente-deux ans, épousa Marie-Madeleine Girouard, fille de François Girouard et de Jeanne Aucoin. D'abord établis à Port-Royal, Thomas et Marie-Madeleine figuraient parmi les premiers colons de Beaubassin, où leur fils Pierre est né le 25 mars 1682. Celui-ci s'est marié vers 1702 à Catherine LeBlanc, fille de Jacques LeBlanc et de Catherine Hébert. L'aîné des onze enfants de Pierre et de Catherine a été nommé d'après son père. Pierre Cormier fils a convolé, à Grand-Pré, le 17 juillet 1730, avec Cécile Thibodeau, fille de Jean Thibodeau et de Marguerite Hébert. Ces derniers sont les ancêtres de tous les Cormier du sud-est du Nouveau-Brunswick. Sources: Université de Moncton, Études Acadiennes |
Thomas CORMIER En 1688, il épousa Magdeleine GIROUARD , alors âgée de 14 ans et vinrent s'intaller à Beaubassin. C'est lors du recensement de 1671 qu'on relève le nom de Thomas CORMIER , âgé de 35 ans, alors établi à Port-Royal. Il est charpentier comme le fût son père. Le jeune couple est parent d'un enfant âgé de deux ans. Leur ferme comprend 6 arpents défrichés, 7 bêtes à cornes et 7 moutons. En 1683, Thomas étais l'un des propriétaire les plus riches en Acadie. Il avait à son actif 40 arpents labourables, 4 fusils, 30 bêtes à cornes, 10 moutons et 15 cochons, ce qui étais considérable à l'époque. Thomas est décédé à Beaubassin avant 1693. En 1714 sa veuve Magdeleine GIROUARD-CORMIER , habite chez sa fille Marie, épouse de Michel HACHÉ. C'est à Beaubassin que les CORMIER prirent vraiment racines. Ils y restèrent implantés près de 100 ans. Vers 1756, le malheur s'abattit sur ce canton. Les CORMIER, comme les autres acadiens fûrent déracinés de leur terre d'acceuil. François CORMIER fût déporté en 1755 en Angleterre. Il revint par la suite, en 1764 à Saint-Pierre et Miquelon. Le métier de charpentier semble avoir persisté au cours des temps dans la lignée masculine des Cormier, même jusqu'à nos jours. Aux Îles, Jean CORMIER et son épouse Marie BOUDROT sont les ancêtres des CORMIER de Havre-Aubert et de Havre-aux-Maisons, dont le père Yvon CORMIER par Émile à Ernest. Quant à Hyppolite et Anne Gaudet, leur lignée se trouve à l'extérieur des îles. En 1940, on comptait pas moins de 1100 familles de CORMIER au maritimes. Aujourd'hui, ce patronyme se retrouve par milliers dans l'ensemble du Canada, en Nouvelle-Angleterre et surtout en Louisiane. (Source livre "Deux cents ans d'histoire" album souvenir pour le bicentenaire de l'établissement des Iles-de-la-Madeleine) |
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