Ces pages ont été fabriquées avec le logiciel Oxy-Gen version 1.40l, le 28/02/2023. Vous pouvez le télécharger sur ce site.
LEBRASSEUR Marie-BlancheFrançois Robert semble d’abord établi à la Malbaie près de Percé, où il aurait épousé sa première femme Louise Boudot, une métisse de l’endroit. (Denis Savard) Généalogiste Denis Savard Après le décès de celle-ci, il doit quitter la Malbaie après les attaques de Wolfe (1758) vers Restigouche. On le retrouve à Népisiguit au recensement 1761, avec une femme (sa nouvelle épouse Thérèse Boissel) et quatre enfants (2 fils et 2 filles). La famille se rétablit à Percé dans les années 1770, puis à L’Anse-aux-Griffons (selon Placide Gaudet) au nord de Gaspé quelques années plus tard. Vers 1783, la famille se transporte à Baie-Verte dans le Sud-Est du N.-B. (toujours selon Gaudet), avant de s’installer définitivement à Tracadie en 1784. |
Généalogiste Denis Savard Après le décès de celle-ci, il doit quitter la Malbaie après les attaques de Wolfe (1758) vers Restigouche. On le retrouve à Népisiguit au recensement 1761, avec une femme (sa nouvelle épouse Thérèse Boissel) et quatre enfants (2 fils et 2 filles). La famille se rétablit à Percé dans les années 1770, puis à L’Anse-aux-Griffons (selon Placide Gaudet) au nord de Gaspé quelques années plus tard. Vers 1783, la famille se transporte à Baie-Verte dans le Sud-Est du N.-B. (toujours selon Gaudet), avant de s’installer définitivement à Tracadie en 1784. |
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