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BERGERON AndréBarthélemy Bergeron et André Bergeron Ancêtre des Bergeron d'Amérique Des huit Bergeron qui au 17e et 18esiècle vinrent en Nouvelle-France, si on retient ceux qui ont perpétué la descendance la plus importante, André et Barthélemy Bergeron se situent fort probablement en tête de ligne. Barthélemy Bergeron Barthélemy qui exerçait le métier de boulanger, arriva au Canada vers 1684. Il ouvrit une pâtisserie à Québec, en association avec plusieurs de ses amis. Peu de temps après, il abandonnait son pays d'adoption et partait pour l'Acadie, où le conduisirent ses expéditions avec Iberville. Vers 1696, il unissait sa destinée à Geneviève Serreau de St-Aubin qui lui donna au moins dix enfants. Ceux-ci se perpétuèrent en Acadie malgré la déportation, et au Québec, suite à toutes ces années noires. L'histoire de l'ancêtre Barthélemy Bergeron semblait se concentrer vers l'Acadie d'abord, donc on se tournera maintenant vers André Bergeron. André Bergeron André Bergeron fut baptisé à Saint-Saturnin-du-Bois, en Aunis, le 16 février 1642. Ces parents portaient les noms de Pierre et Catherine Marchand. Catherine Marchand serait décédée vers 1665, car son mari, Pierre et son fils André furent retracés alors qu'ils habitaient tous les deux dans la haute ville de Québec, au service de Eustache Lambert. Au recensement de 1667, André et son père demeuraient toujours chez Les Lambert. En 1670, l'ancêtre André s'associait à Philippe Guyon (Dion) pour prendre bail à la terre de Marie Laurence, femme d'Eustache Lambert. Maintenant devenu colon, après un engagement de 5 ans, il se mariait à Marguerite Dumets ou (Dumais et Demers), fille de Jean et de Jeanne Védix ou (Védier), née à Montréal en 1659. Après s’être établis confortablement dans le petit village de Saint-Nicolas, la maison d’André et de Marguerite sert bien le missionnaire itinérant qui y dit la messe et y baptise les nouveau-nés. Le recensement de 1681 décrit la famille d’André Bergeron de la façon suivante: André, 38 ans, Marguerite (Dumay) Bergeron, sa femme, 32 ans, et quatre enfants, un fusil, deux vaches (rare cultivateur à en avoir deux), et six arpents de terre en valeur. Le couple André et Marguerite élève une belle et grande progéniture. En effet, douze enfants, dont sept garçons et cinq filles, sont leur richesse. Recherche et texte Yvon Bergeron SGSE Le couple alla probablement vivre à St-Nicolas, vers 1682. André et Marguerite donnèrent 7 fils et 5 filles à la génération des Bergeron. André Bergeron s'éteignait dans cette même paroisse, le 21 février 1712. Il est très intéressant de noter que leurs cinq fils se marièrent à plusieurs reprises et perpétuèrent une très nombreuse descendance de Bergeron. Source: Le Centre de généalogie francophone d'Amérique |
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