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LAVIGNE JacquelineHuissier du Conseil Souverin 22/04/1664, et huissier de la Prévôté de Québec en 1681, Sources: Dictionaire généalogique des familles du Québec des origines à 1730, René Jetté JEAN LEVASSEUR dit LAVIGNE Enfant de Noël Levasseur, maître menuisier et de Geneviève Gaucher, il a vu le jour vers 1620, à St-Leu et St-Gilles de Paris, du département actuel de la Seine. Son frère, Pierre Levasseur, qui est aussi venu en Nouvelle-France, est né huit ans plus tard environ. La première mention au pays de Jean Levasseur est faite en 1641, comme commis au magasin de Québec. On attribue aux frères Levasseur, la formation de la confrérie des Menuisiers de Madame Sainte-Anne. Les confréries ont pour but de rassembler les ouvriers d'un même métier. Plusieurs menuisiers sont venus à Québec au début de la colonisation, car on a grand besoin d'eux pour ériger de nouveaux bâtiments. Certains d'entre eux ont déjà appartenu à la confrérie Sainte-Anne de Paris. Il est donc normal qu'ils se regroupent en association semblable, en Nouvelle-France. Il retourne en France en 1645 et selon le contrat LeCat et LeSemelier du 23 avril 1646, Jean Levasseur, " sculpteur de talent et maître-menuisier de Paris ", il épouse à Paris, Marguerite Richard, fille de Nicolas Richard, maître lapidaire et de Jeanne Bonnet. Jean revient avec sa femme Marguerite Richard et un fils, à Québec, en 1651, probablement avec le gouverneur, Jean De Lauson. Le 13 août 1654, le père Jérôme Lalemant et les marguilliers de Notre-Dame confient à Jean Levasseur l’entretien de l’église paroissiale. En 1655, Louis D’ailleboust lui octroie deux concessions : l’une dans la censive de Québec, l’autre dans la seigneurie de Coulombe. Trois ans plus tard, Louis d’Ailleboust lui octroie une autre concession, cette fois sur le versant nord de l’île d’Orléans. La fonction d'huissier du Conseil souverain, que Jean Levasseur assume bientôt, ne lui permet guère d'exercer assidûment son métier. Il devient en quelques sorte un intermédiaire entre les menuisiers et le gouvernement de la Nouvelle-France, et se livre à la spéculation immobilière, comme on peut le constater par quelques actes des notaires Duquet et Rageot. Un peu plus tard, le couple est établi à Québec, où il est venu vivre. Onze enfants y sont baptisés, dont deux filles ont de la descendance qui nous concernent dans cette généalogie. La première des filles qui nous concerne dans la présente description généalogique, Marie-Thérèse Levasseur, née en 1659, épouse à Québec, le 14 janvier 1676, Nicolas Bonhomme, fils de Nicolas Bonhomme et de Catherine Goujet. Des douze enfants, leur fille Thérèse Bonhomme, née vers 1686, épouse en 1709, Michel Moisan, fils des ancêtres Pierre Moisan et Barbe Roteau. Jean Levasseur est dit absent le 23 avril 1685, à cause d’incommodité au contrat de mariage de sa fille Anne-Félicité. Cette dernière, baptisée à Québec, le 23 avril 1667, épouse en 1685, Jean Hamel, fils de Jean Hamel et de Marie Auvray, dont dix-sept enfants naissent au couple. Cette famille de Champigny a été victime, en 1701, d’un incendie au cours duquel cinq enfants en bas âge ont brûlés vifs. Leur fille Félicité Hamel, épouse en 1709, Noël Beaupré, fils d’Ignace Bonhomme, dit Beaupré et d’Agnès Morin. L’ancêtre Jean Levasseur, dit Lavigne décède le 30 août 1686 et est inhumé le lendemain 31, à Québec. On ignore la date du décès de son épouse, Marguerite Richard. La cousine de Jean, Jeanne Levasseur, épouse en 1653, l’ancêtre des Drolet, Christophe, qui a grandi dans la paroisse de Saint-Eustache de Paris. Le couple est arrivé en 1654, avec Pierre Levasseur, frère de Jean et cousin de Jeanne, qui n’a pas de lien dans cette généalogie. Source : Vincent Levasseur |
Jean Soucy dit Lavigne Ancêtre des Soucy d'Amérique L'ancêtre des Soucy, Jean Soucy dit Lavigne, vint en Nouvelle-France en 1665. Il était alors engagé comme soldat du régiment de Carignan. Le 6 octobre 1669, Jean épousa Madeleine Maréchal et 7 jours plus tard le contrat fut annulé. Celle-ci se remaria à Pierre Poupardeau. Quelques années plus tard, soit un peu avant 1671, il prenait pour épouse une fille du Roy, Jeanne Sauvenier ou Savonet. Elle était la fille de Jacques et d'Antoinette Babillotte de Paris. En 1669, Jean travaillait pour le seigneur Pierre Bécart, à l'Île-aux-Grues et fort probablement qu'il obtint sa terre de celui-ci. Vers 1674, il entreprit donc d'y ériger sa maison. Les Soucy dit Lavigne mirent au monde 4 enfants, soit: Anne, le 5 septembre 1671, à l'Île-aux-Oies; Pierre, le 13 avril 1673; Marie-Anne, le 15 février 1675, à l'Île-aux-Grues; Guillaume, né le 5 avril 1677. Jean Soucy serait décédé vers 1678. Jeanne se remariait le 22 août 1679 à l'Islet avec Damien Bérubé de qui elle aura 7 autres enfants. Le 13 janvier 1699, Pierre, l'aîné des garçons, unissait sa destinée à Élisabeth-Ursule Fouquereau, fille d'Urbain et de Jeanne Rossignol. De leur union naissaient douze enfants qui contribuèrent à perpétuer la lignée des Soucy dit Lavigne au Canada et aux Etats-Unis. Parmi les Soucy, on retrouve plusieurs générations de sculpteurs. Il est également intéressant de souligner qu'une sculpture d'Elzéar Soucy, faite en 1924 et représentant Pierre Lemoyne d'Iberville, peut être admirée au parlement de Québec. Source: Le Centre de généalogie francophone d'Amérique |
Un seul ancêtre portant le patronyme Brodeur semble être venu de France sous le régime français et faire souche en Nouvelle-France. Les Brodeur d'aujourd'hui de notre région (Montérégie) semblent donc tous descendre de Jean Brodeur dit Lavigne qui immigra du Poitou vers 1675. |
Joseph-Ozanie Nadeau portait le surnom Lavigne. Joseph-Ozanie vint en Nouvelle-France comme engagé de 36 mois. Il dut arriver à Québec à l'été de 1660 et se mettre à l'emploi d'un colon de la Côte de Beaupré, peut-être à Sainte-Anne du Petit-Cap. En voici les raisons. Le 11 avril 1662, nous le trouvons dans la liste des confirmands de Château-Richer. Il est cité à côté de Sylvain Veau, domestique de Jean Gagnon depuis 1660. L'ancêtre Nadeau vivait donc certainement ici en 1661. Le 14 octobre de l'année 1662, il se présente au même endroit comme parrain du fils de Jean Boutin, dit Larose et de Suzanne Rocheteau, habitants vivant probablement sur le territoire de Sainte-Anne. Le 3 février 1663 il recevait de Charles de Lauson 3 arpents de front de terre à prendre sur le territoire de la paroisse de Sainte-Famille, dans l'arrière-fief Charny-Lirette Ses voisins se nommaient Jean Moreau, dit la Grange et Robert Laberge. Cette ferme se trouve aux numéros 224 à 226 des lots cadastraux actuels, c'est-à-dire de côté nord à l'ouest de l'église Sainte-Famille. Vendredi 6 novembre 1665, Joseph-Ozanie Nadeau, dit Lavigne, était à Québec, maison du notaire Duquet pour y passer un contrat de mariage avec une fille du roi née à Saint-Eustache de Paris, Marguerite Abraham, baptisée le lundi 5 janvier 1637, fille de Godgaud Abraham et de Denise Fleury. Le couple désire vivre en communauté de biens. Ozanie doue sa bien-aimée du douaire coutumier. Le jour de la bénédiction nuptiale n'a pas été consigné dans les registres. C'est l'abbé Thomas Morel qui officiait les célébrations à l'Ile-d'Orléans, tout en étant le curé à Québec de 1661 à 1671. Source: Les Nadeau d'Amérique inc. |
dit LAVIGNE |
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